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Courrier des lecteurs


La jeune fille : « Bravo pour ton livre. J’adore. Congratulations mon cher. J’ai moi-même été fascinée par les boules chez les antiquaires. Le livre tient en haleine, tu as envie de le lire d’une traite pour connaître la fin. Good luck ! See you soon best wishes à tous deux. »

Françoise Cassin,
Clisson.

« Nous espérons que ce livre tête-bêche sera suivi de nombreuses autres publications toutes aussi originales. Bravo à l’écrivain. Bon courage pour les autres ouvrages ».

Claudine et Michel Bouchard, les normands ,
Anguerny.

Le Guide 1 : « J’ai pris bonne réception de votre livre et m’y suis engagé sans plus tarder. C’est un véritable cadeau et je vous remercie infiniment. La rencontre de Pirandello et de Gilgamesh dans les herbes folles d’un Hénaurme tapis de souris… c’est de l’héroïque fantaisie comme on n’en a jamais osé l’espérer. Jubilatoire pour tous et initiatique pour ceux qui ont toute liberté de s’engager dans cette voie. Je m’empresse de le faire savoir. Avec mes plus cordiales salutations.

Silvio Matteucci,
Paris.

Le Guide 1 : « Tous nos compliments à l’auteur qui nous a baladé dans les méandres de sa prose, oh ! combien acerbe et subtile. »

Roberto et Nelly Bonheur,
Martinique.

Le Guide 1 : « Cher André, je te remercie d’avoir pensé à moi pour partager ton premier livre. J’ai bien sûr commencé à le lire, je te trouve très clairvoyant, ressortant tous les travers du monde du travail, où les rapports avec la société sont complètement faussés. Performance et compétitivité sont en décalage permanent avec les valeurs de la vie. Hélas, nous sommes pris dans ce système, aujourd’hui à la recherche d’un nouvel emploi, je relativise beaucoup plus.. Je refuse de faire semblant, mais je vais de l’avant sans nostalgie et sans regrets. J’espère que tu trouveras écho auprès de tes lecteurs qui sauront comprendre ton parcours. En tout cas tu gardes assez d’humour. Encore un grand merci pour ce livre salutaire.

Michèle Dif,
Ivry-sur-Seine.

Le Guide 1 : « Bravo André, ton livre, c’est comme un troisième enfant ? mais celui-là serait né après une longue gestation, dans des cris de douleur et pour finir une explosion de joie. Je l’ai lu plus comme un pamphlet sur notre monde économique, cruel et impitoyable pour celui qui s’y laisse prendre, que comme un roman-jeu. Car j’avoue mon manque de culture informatique, les jeux vidéo me causent plus d’ennui (par ignorance) et de crainte par leur violence (mais est-elle si éloignée de la réalité ?) Ton style est riche de citations d’auteurs, tu m’as donné envie de lire Swift. Je t’ai trouvé une copie sur laquelle tu pourras méditer… On sent que l’écriture te démange, donc n’hésite pas à prendre la plume ou le clavier. J’admire ceux qui arrive à s’exprimer par l’écrit, la peinture. Je suis toujours en phase d’apprentissage et je souhaite un jour d’aboutir sur une toile ou du papier. »

Nadège Picard,
Murs Elignes.

Le Guide 2 : " [...] Ce roman-jeu permet au lecteur, interpellé par le narrateur qui n’est autre que sa conscience, de devenir l’objet du roman, l’homme écrasé par l’entreprise et par la peur du licenciement. [...] « Un livre original, truffé d’énigmes et de citations. » "

Emmanuelle Pichelin,
Ivry-ma-ville, n°332, avril 2003.

La jeune fille :

"Cher ami, tous mes voeux de santé et bonheur pour vous et votre famille pour cette nouvelle année 2004.

J’ai lu le roman « La jeune fille et la boule ». J’ai bien aimé le côté vivant et l’adresse directe au lecteur (notes, le Principe, les Eglises, lecteur pressé, page 65...)

Je suis toujours à l’Anse Mitan.

Si l’occasion vous est donnée au cours de cette année de revenir sur Madinina, c’est très volontiers que l’on pourra boire un ti punch ensemble.

Amitiés."

Le 20 01 2004, Gilles Cercillieux

La jeune fille :

"Cher papa, tu m’as demandé de réfléchir au roman d’Amélie Nothomb, Stupeur et Tremblements, que tu viens de découvrir, et dont, à ta demande, j’achève la lecture. Je comprends ton interrogation. Tu voudrais que j’explicite les raisons de son formidable succès littéraire et commercial et, concomitamment, les causes de ton très relatif succès, disons de ton succès confidentiel, alors qu’il y a une proximité entre son thème et le thème de La jeune fille et la boule, qui est celui d’une mise en abyme du dédoublement pathologique d’une jeune fille solitaire en proie au vertige du désespoir Il y a aussi des analogies fortuites entre les deux romans. L’idée de l’ascenseur comme échappée à la monotonie du quotidien ; la peur du viol. Il y aussi un parallélisme entre la défenestration d’Amélie et les sauts constants de la jeune fille dans ses rêves : tous deux expriment leur désir d’échapper à la réalité et de fuir dans un monde de confort. Le style par contre est très différent. Aucune ressemblance, et c’est peut-être là les raisons de ton succès confidentiel. Les deux romans sont écrits sur deux tons différents. Celui d’Amélie est plein d’humour, frivole et léger malgré son humiliation constante. Il est écrit à la première personne. Il s’en tient à un plan superficiel du point de vue des émotions d’Amélie. Il prend fin très rapidement, sans laisser de place à l’introspection ni à la rétrospection mais raccourcit le temps et les étapes de la vie d’Amélie. Le public aime. Une admiratrice d’Amélie me disait récemment : « Ce que j’aime en A. Nothomb, c’est qu’elle, au moins, elle ne me prend pas le chou quand je la lis. » Ton roman, La jeune fille et la boule, au contraire, est plus tragique, même si très souvent il prend des directions surréalistes. Il est aussi très métaphorique, puisque, tout en décrivant une société qui n’existe pas dans notre réalité, tu parviens à décrire la dérive des religions, la montée des sectes et la perte de la foi au profit de la recherche du succès. Il est écrit à la troisième personne, et dans de longs monologues, la jeune fille, Eva Dublin, s’épanche sur ses désirs d’absolu, sur l’évolution de ses états d’âme. Tu te permets, aussi, de laisser courir tout au long de certaines pages, une ironie féroce à l’encontre des aspects de notre société, et surtout lorsque tu prends comme cible les milieux journalistiques dans l’épisode désopilant du talk-show vécu comme dans un rêve par Eva. Ton roman se termine après une impressionnante course surréelle à la poursuite de la jeune fille, puis dans sa définitive plongée dans la folie (vrai ?). Peut-être, pour plaire à un lectorat moderne, faudrait-il couper ton roman de part en part, produire une écriture plus légère, plus détachée du personnage quand c’est l’auteur qui parle, et emprunter un ton plus humoristique. Le pourrais-tu ? A toi de voir. Ne compte pas sur moi en tout cas pour faire le boulot. Mon conseil : contacte Amélie et offre lui le bébé. Tu verras bien sa réaction. Ou outrée par ton outrecuidance elle t’insulte (elle a un sacré caractère et comme toute personne qui a du caractère, elle doit l’avoir mauvais), ou conquise, intéressée, elle change l’eau du bain du bébé et à vous deux (surtout à elle) les joies, en tout genre, du best-seller.

Bon courage ! A bientôt.

Loïc Thomarel.
Londres,
2 01 2005"


"Diffusion P. Editeur - vient d’éditer les Réflexions et Maximes de 1747 du moraliste VAUVENARGUES, suivies d’un choix de maximes posthumes, d’une lettre de Voltaire et d’un relevé de ses annotations des maximes. C’est une bonne idée, car si tout le monde connaît ce moraliste à Aix-en-Provence puisqu’il y est né en 1715 et passa son enfance au Château de Vauvenargues (à 13 Km de cette ville) qui fut la résidence et la propriété du peintre Pablo Picasso, il serait bien difficile de trouver en librairie son œuvre. Luc de Clapiers, marquis de Vauvenargues eut une courte vie qu’il consacra principalement au métier des armes sous le règne de louis XV et à l’écriture. Il mourut dans la misère à Paris à l’âge de 32 ans dans un hôtel du quartier de l’Odéon. Moraliste à la sincérité absolue, confiant en l’homme et en ses vertus sans ignorer les déformations que font subir la vanité, la bassesse, la cupidité à la nature humaine, respectueux de l’homme, attachant par sa sensibilité frémissante, son enthousiasme, son humanité il disait « qu’il faut avoir de l’âme pour avoir du goût » et que « le sentiment était bien supérieur à la raison ». On le considère comme le premier philosophe à avoir introduit le « je », le « je » des futurs romantiques du 19e siècle, dans la morale. Son œuvre au style clair et aux formules souvent poétiques lui assure une place de choix parmi les moralistes du 18e siècle. L’éditeur présente les Réflexions dans un livre tête-bêche partagé avec un texte de morale contemporaine d'André Thomarel - Le Guide-leurre de la réussite - , qui est comme une réponse à Vauvenargues. En outre, il a écrit une courte introduction aux maximes de Vauvenargues. Comment mieux définir Vauvenargues qu’en citant sa célèbre maxime qui résume si bien sa pensée : « Les grandes pensées viennent du cœur. »

Les Nouvelles Littéraires du Pays d'Aix.
Jacques Gaillard,
18 07 2007"


Vauvenargues, Réflexions et Maximes (Introduction par A. Thomarel) et
Le Guide-leurre de la réussite (Texte intégral)
juin 2008 
:


Lettre de Monsieur Jean-Noël Guérini, Sénateur et Président du Conseil Général des Bouches-du-Rhône.



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Lettre de Monsieur Jean-Noël Guérini, Sénateur et Président du Conseil Général des Bouches-du-Rhône.
[Cliquez ici pour relire cette lettre en gros caractères]


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